Ryoku no Shinobis
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 test rp solo

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Minoue Maboroshi
Bras Droit du Mizukage
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Minoue Maboroshi

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MessageSujet: test rp solo   test rp solo 283816miniiconoMar 26 Jan - 21:32

Rp flash back : technique du clone parfait
p.s : edit: non finalement pas de ps...
Quand je serai grande, je serai immortelle ! » tels furent mes premiers mots peu après que j’eus appris ma première technique de base avec mon père. A peine capable de reproduire un kage bunshin, j’en étais néanmoins emplie de fierté comme tout enfant en apprentissage à cet âge là… D’autant plus qu’étant l’une des rares petites filles du clan où je vivais, je me sentais à la fois unique et surpuissante. Ce fut le début de l’évolution de mon égo surdimensionné qui dura jusqu’à mes quatorze-quinze ans avant que je ne me prenne la beigne de ma vie par un ninja nettement plus confirmé que moi qui m’apprit l’humilité à sa façon. Ce fut non seulement douloureux, mais quelque chose de mauvais s’était brisé en moi à ce moment là et j’avais appris à être plus réfléchie dans mes propos. Il fallait dire, que plus arrogante que moi avant ce moment là, cela n’existait pas… J’étais, certes, une apprentie plutôt douée, et ce je peux l’affirmer sans m’enorgueillir, mais beaucoup d’autres personnes possédaient des dons bien plus développés que les miens, j’avais juste eu la malchance de rencontrer ces gens là un peu trop tard, ma confiance ayant déjà trop évoluée dans le mauvais sens.

Neuve ans. Seule rescapée de ma famille, du moins c’était ce que je croyais car maintenant que j’y pense, il me reste peut-être d’autres membres de mon clan encore en vie, j’étais installée à Kumo où je poursuivais mon enseignement de Kunoishi. Parmi les techniques que je possède aujourd’hui, il n’y en a pas plus de cinq qui se démarquent d’entre elles. A commencer bien sur, mon invocation unique que j’eu peu avant la deuxième, celle qui me permis de créer un clone parfait de mon être. Un clone à la perfection si absolu que rien ne pouvait en deviner le créateur originel lorsque l’on se retrouvait en face des deux doubles. Même chakra, même physique, même style de mouvement, la seule différence qu’il y avait entre eux était leur caractère diamétralement opposé. Sachant que la véritable maboroshi se dissimulait tantôt dans l’un, tantôt dans l’autre de façon aléatoire, aucun calcule ni supposition de pouvait deviner le véritable corps. Telle était la particularité, et la puissance de cette technique. De mon arrivée au village jusqu’à mes quatorze an, rien ne se passa de très inhabituel jusqu’à la découverte de mon gardien maboroshi. Quand je fus de retour après cet épisode, je n’y restai pas très longtemps et par besoin d’espace et de liberté, je m’exilai momentanément durant une demi année pour aller faire de nouvelles recherches afin de développer encore plus de pouvoir. C’était aussi la période de ma vie où je fus la plus sanglante et où je tuai sans discernement.

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Marchant sans savoir la direction que j’avais prise, je m’éloignais du village de la foudre sans un regard en arrière ayant pour seul arme, mon fidèle katana bien qu’il ait été très abimé dans les flammes de mon gardien lors de notre première visite, et pour seul bagage, deux trois affaires de rechanges et de quoi tenir pour quelques jours dans un large sac de voyage que j’avais substitué dans les vieilleries de Sawatari mon ancien ami décédé. Afin de ne pas me faire reconnaitre, je m’étais colorée les cheveux avec de l’encre blanche, me rendant ainsi plus « banale » aux yeux des autres.
Quand j’arrivai à la frontière entre je ne sais quel pays et Oto no Sato, je découvris là un village à l’apparence misérable où la pauvreté régnait tellement qu’on pouvait la ressentir les yeux fermés. Partout où j’allais, les gens trimaient dans leur labeur, la peau sur les os et le visage blafard de fatigue. Posant sur moi leurs yeux souffrants, ils avaient suffisamment de problème pour faire attention à moi et je pus entrer dans la partie principale du village sans problème. Les gardes, deux hommes qui ne semblaient pas avoir beaucoup d’expérience, m’arrêtèrent juste pour me demander quelles étaient mes intentions en venant ici et je n’eus qu’à leur dire que je cherchais un abris pour un moment pour qu’ils me laissent partir, montrant bien non seulement la faiblesse du village du son, mais aussi leur naïveté tellement ils étaient désespérés. Je commençais peu à peu à me durcir émotionnellement quand je me rendis compte que toutes ces misères en face de moi ne me faisait rien, si ce n’est m’emparer d’une douce euphorie à l’idée que je les surpassais tous…

Je peux savoir ce que tu fabriques là, l’étrangère !

Alors que je m’étais arrêtée au milieu d’une petite place pour chercher des yeux l’auberge la plus propre, chose pas très aisée dans un endroit pareille, la voix nasillarde d’un jeune homme m’arracha à mes pensées et je tournai lentement mes yeux ambrés dans la direction de la source. C’était un adolescent, en passe de devenir un homme mais pas encore tout à fait. Sale, mal vêtu et faisant tourner un Kunai ébréché entre ses doigts d’une façon maladroite mais qu’il voulait rendre viril, sans aucun doute, il me regardait avec un sourire provoquant, son regard glissant sur moi, me lorgnant sans pudeur. Il était plus âgé que moi, c’en était certain, mais mes yeux ce n’était qu’un abruti doublé d’imbécilité que je prendrai plaisir à saigner comme un porc (désolée de l’expression). Voyant déjà dans ma tête ses entrailles jaillirent de son corps, un sourire amoureux se dessina sur mon visage transfiguré par une envie vorace de combat. M’approchant de lui d’un pas souple et élastique, je m’arrêtai à un mètre et pris appui sur une jambe, posant ma main d’une façon à la fois provocante et vulgaire sur le haut de ma cuisse. Surpris tout d’abord, un éclat d’incrédulité traversa les yeux de ce garçon avant de faire place à une aura de convoitise animale. Entrouvrant mes lèvres rouges, je plongeai mon regard dans le siens pour le fixer sans ciller :

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Ce que je fabrique ici ? Susurrais-je d’un ton doucereux et envoutant malgré ma jeunesse, je suis venue pour essayer de nouvelles expériences bien sur…

Le dépassant vivement pour tourner dans une ruelle sombre, je l’entendis m’emboiter précipitamment le pas et j’accélérai, jubilant intérieurement à ce qui allait arriver. Lorsque je sentis le contacte horrible de sa main sur mon épaule, je me retournai et le plaquai contre le mur tandis que son autre main remontait le long de mon flanc pour commencer à s’immiscer sous le tissus. D’une prise de fer, je l’arrêtai immédiatement et il se raidit sous la douleur que lui infligeaient mes doigts, compressant son poignée. Quand il comprit enfin que je n’avais aucune intention de me donner à lui, il chercha fébrilement son arme qu’il avait bêtement accrochée à sa ceinture. Le regardant s’emmêler dans les liens qu’il essayait de défaire rapidement, je n’attendis pas plus longtemps et sortant un kunai d’un geste vif, je lui plantai sauvagement dans le rein avant de le remonter à la diagonal jusqu’au poumon droit. Le sang giclant de la plaie béante, il m’aspergea le visage et je passai une langue autour de mes lèvres pour en sentir le gout métallique. Son cri en parfait écho au rire glacé que je laissai échapper avec euphorie. Appuyant un peu plus sur le manche, sa voix commençait à se briser tellement sa plainte était puissante et j’ouvris une nouvelle plaie jusqu’à l’autre poumon. Crachant du sang contre moi, j’empoignai à pleine main les bords de la blessure et tirai lentement jusqu’à ce qu’il glisse contre le mur pour tomber. Et ne plus jamais se relever.

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Cet épisode commença à éveiller lentement « Kuroi » ma partie négative en moi, sans que je ne m’en rende compte. Ressortant de la ruelle, rouge écarlate et empestant le sang sur plusieurs mètres, certains passants se retournèrent pour regarder d’un air stupéfait et je les défiai du regard jusqu’à ce qu’ils consentent à s’occuper de leurs affaires. Quand je fus certaine de ne pas être dérangée, j’avisai du coin de l’œil une petite fille qui appelait son frère et je me fis plaisir à lui désigner la ruelle d’un indexe agressif. Quand je m’éloignai de quelques mètres, je fermai les yeux pour savourer son hurlement horrifié qui résonna longtemps derrière moi…

Vous vous demandez sans doute pourquoi je vous raconte ce moment de ma vie qui ne semble avoir aucun lien avec la nouvelle technique que j’appris, mais il en est lié dans le sens où lorsque mon coté sombre se développa, je commençais déjà à me dissocier en deux parties ce qui me mena bientôt à me dédoubler totalement. Pour cela, j’eus néanmoins besoin de l’aide de l’homme qui m’apprit deux de mes fidèles techniques favorites ainsi que l’humilité. Originaire de Kiri, ce fut grâce à lui que j’intégrai ce village deux années plus tard.

Ayant quitté Oto no sato après avoir massacré une famille entière qui avait refusé de me fournir gratuitement ce dont j’avais besoin, les corps brulaient au milieu du village et l’odeur de chaire brulée m’accompagna jusqu’à la fin du premier kilomètre avant que je ne la sente plus. Cette fois, ce fut en direction de taki no sato, le pays de la cascade que je me rendais, en espérant rencontrer des choses plus intéressantes que je ne l’avais fait auparavant. La traversée entre les deux villages ne devait pas me prendre trop de temps mais suffisamment pour que j’en éprouve le besoin de me reposer et ce fut avec soulagement que je m’arrêtai au milieu de trajet pour une pause dans un bourg plus propre que le pays du son. Tout montrait que ce serait un détail sans importance mais ce fut dans une auberge que je le rencontrai. Il n’avait pas atteint la vingtaine d’année mais il s’en approchait. Je l’avais remarqué de suite, pas seulement parce qu’il était beau, mais surtout parce que ses yeux bleus tranchés sa courte chevelure de Jai et que l’aura qu’il dégageait était tout sauf amical. Assis à la table du fond, son regard étrange captura le miens et je sentis toute confiance déserter mon corps. Lorsque je pris place de l’autre coté, je commandai mon plat et attendis patiemment qu’on me le serve, prenant soin de regarder ailleurs. Malheureusement, quand on s’efforce de ne pas penser à quelque chose, on ne peut pas s’en empêcher et c’est finalement tout le contraire qui arrivait. Obnubilée par cet étranger, je ne prenais aucun plaisir à ce que je faisais et m’empressai de finir pour aller louer une chambre rapidement. Quand je me retournai, je me retrouvai alors face à lui et lui adressai un regard noir de défit. Pour qui il se prenait lui…

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Qu’est-ce’ tu me veux toi. Lâchais-je entre mes dents d’un air irrité. Tire-toi de là si tu ne veux pas que ta cervelle lustre le parquet.

Le dépassant en lui donnant un bref coup d’épaule, je me sentais plus en colère que je ne le pensais et j’en étais troublée. Alors que j’espérais oublier ce moment là, sa main jaillit de dessous sa cape et ses doigts s’enroulèrent autour de mon poignée avec une force que je ne soupçonnais pas pour me tirer en arrière. Trébuchant à moitié, je me rattrapai à la table et tirai pour me libérer ce son emprise mais il ne me lâcha pas. Alors que son visage était sans émotion tout à l’heure, là il me fixait d’un air froid que je me sentis défaillir. Serrant le bord de la table à m’en blanchir les phalanges, la respiration saccadée, je ne bougeais plus et il retira enfin sa main mais continua de me bloquer le passage. N’osant plus tenter d’avancer, je ne m’étais pas vraiment battu mais sa force physique et son aura écrasante m’avait clouée sur place. Enfin, je sortis de ma torpeur et la colère m’envahit à nouveau. Dégainant d’un coup sec un kunai je voulu le planter comme je le faisais habituellement mais il s’effaça alors, laissant passer ma lame à deux centimètres de son corps, mais elle aurait pu être à cent mètres de là que l’effet aurait été le même : aucun résultat. Frappant du tranchant de sa main sur mon poignée désormais découvert, je l’entendis craquer et je laissai échapper un hurlement de douleur. Et trébuchai une nouvelle fois en avant. Il s’écarta et je m’écrasai par terre, ne pouvant pas me retenir de ma main blessée. Laissant échapper un gémissement de douleur malgré moi, ma respiration ne cessait de s’accélérer au fur et à mesure que ma haine envers lui grandissait.

Espèce de… je vais te…

Sautant vers lui tout en dégainant mon katana à la lame encore rouge de sang séché, il se baissa et m’attrapa par le devant de ma tunique. Son poing me pénétrant sous le sternum, j’eu le souffle coupé et ne me sentis même pas décoller. La douleur des bouts de verres pénétrant dans ma chaire me ramenèrent à la réalité quand je traversai la fenêtre qui vola en éclats. Tombant dans la rue, je m’écorchai l’épaule droite tandis que je ripais contre le sol de pierre, je ne me relevai pas de suite, trop étourdie pour pouvoir le faire. Me mettant en position assise, je me penchai sur le coté pour vomir, la douleur dans mon ventre trop forte pour que je puisse me retenir. Une paire de bottes entra dans mon champ de vision et je me rendis compte que pour la première fois de ma vie, j’éprouvais de la crainte envers un être humain. Toujours au sol, tremblante et la sueur froide coulant le long de mon dos, je ramenai mes cheveux teints en blanc en arrière et n’osai pas lever les yeux vers le visage de celui qui m’avait battu sans peine. Quand il se baissa vers moi, j’eus un mouvement de recul mais sa main se posa doucement sur ma joue et je stoppai mon geste. Ses yeux océans ne présentait plus aucune colère mais au contraire, un air de compréhension et de pitié qui au lieu de m’énerve, me donna l’envie de pleurer. Ce que je fis aussitôt…

Suis-moi, Maboroshi.
Me dit-il d’une voix plus mure qu’il ne le montrait, j’ai des choses à t’apprendre.

**suis le pauvre idiote, il ne te reste plus que ça à faire…**

Je vous suis…
répondis-je sans me soucier que Kuroi venait de parler pour la première fois dans ma tête.

Un entrainement intense et douloureux.
Montagnes aux alentours de Kiri no sato.
Sur la pointe d’un haut roc, je me tenais sur un seul pied vu qu’il n’y avait pas la place pour l’autre. En équilibre, un bras tendu à ma droite à la verticale du sol, je tenais mon katana dans mon autre main, le regard fixé sur Kyo (le nom du jeune homme qui était mon maitre) tandis qu’il faisait tournoyer une dizaine de kunai habilement. Lui aussi il me fixait avec un petit sourire et il tenait sans effort sur le pic rocheux où il était. Sans avertissement, il me lança une salve d’armes de jets que je parai alors de ma lame, faisant teinter son métal glacé durant tout l’assaut. Les lancés étaient précis et visaient à tour de rôle des points précis de mon corps sans interruption et de façon aléatoire, je ne pouvais que me fier à mon instinct. Encore si j’avais eu les yeux ouvert cela aurait été plus simple, mais avec un bandeau recouvrant ceux-ci, c’était assez difficile…Lorsque l’un des projectiles mortels s’enfonça entre deux cotes, je laissai échapper une exclamation de douleur mais ne m’arrêtai pas pour autant. Cela faisait déjà quatre mois que nous nous entrainions et j’avais été plus blessée que je ne l’avais été auparavant et j’étais plus résistante que jamais. Au bout de plus d’une demi-heure, quand je commençai à me fatiguer, il stoppa ses lancés et me fit signe de descendre. Ce fut le début de l’une des mes techniques car sans le voir je comprenais désormais les gestes les plus marqués et je percevais plus de choses.

Tu es en train d’assimiler la technique du troisième œil, me dit-il avec calme, ou du sixième sens, comme tu l’entends. Ta personnalité a changé brutalement ce qui t’a crée deux autres consciences, je n’ai fait que te pousser dans la bonne direction. Le reste tu devras l’apprendre par toi-même pour développer cette technique. Avant de partir, reprit-il après une courte pause, je vais t’apprendre une dernière technique, une dont la puissance dépendra de ta force car elle te permet de créer un clone à la perfection absolu qui sera en quelque sorte, un deuxième toi. Plus tu es forte, plus ta puissance sera dévastatrice avec cette technique… Elle dépend, elle aussi, de tes deux consciences qui sommeillent en toi…

**C’est de nos qu’il parle l’autre crétin ?
Sans lui nous ne serions pas là…
Tu ne serais pas là, moi j’étais apparu avant lui, je te rappelle !
Au même moment.
Non pas tout à fait, j’étais en toi mais tu ne m’avais pas encore découvert…*

…maintenant fais moi un clone tout simple mais en le faisant je veux que tu fasses expulser soit Hikari, soit Kuroi dans ton chakra.

Ce n’était pas aussi facile qu’il le disait. Déjà, je ne connaissais que très mal à ce moment là les deux consciences qui partageait désormais mon âme, mais en plus je n’arrivais pas à contrôler Kuroi. Heureusement qu’Hikari se montrait plus docile…
Le premier essai fut aussi désastreux que la dizaine d’autres qui suivit. Non seulement mon clone était tout ce qu’il y avait de plus simple, mais au lieu de le renforcer avec mon chakra chargé d’une de mes consciences, je le vidais du siens, si bien qu’il explosait sans qu’on n’eut besoin de le toucher. Tout marchait sur un équilibre et j’étais la seule à pouvoir le trouver, mon maitre momentané lui ne pouvais rien faire… Epuisée, je décidai de me coucher vers le milieu de la nuit pour recommencer le lendemain.
Trois semaines passèrent comme cela, alternant les combats à mains nus, armes blanches ou avec les techniques mais ma concentration était fixé sur la technique du clone parfait. Peu de personnes y arrivaient et ceux qui y avaient réussi avaient mis des années à avoir un résultat correct. Moi, je pouvais le faire bien plus rapidement car j’avais la faculté de pouvoir dissocier ma conscience en plusieurs morceaux. « Un jeu d’enfant » m’avait dit Kyo, mon maitre. Quand j’eus remarqué la difficulté de l’exercice, je lui aurais bien transpercé le ventre à celui là…
Au début de la quatrième semaine, enfin je pus me montrer satisfaite de moi-même. Le clone que je créai ce jour, était non seulement capable de faire des techniques, mais sa réserve de chakra faisait la moitié de la mienne sans que je n’eu à lui en passer plus que ce qu’un clone simple nécessitait. C’était comme on pouvait appeler, le début de la réussite de cette technique. Je crois que pour la première fois, je fus touchée de voir mon maitre, debout et tenant mon arme, fier de moi.

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Conclusion
Non seulement je me retrouve à deux de mon niveau lorsque je me bats, mais cette technique ne requérant pas de signe, je pus me sortir de beaucoup de situations où je me retrouvais immobilisée. Quand je voulus retrouver mon maitre après l’avoir quitté, je ne trouvai aucune trace à partir de Kiri. Ce village m’attira aussitôt. Plutôt mal regardée car j’étais une étrangère, cela ne me faisait rien, c’était un pays de violence et discret. Les lois étaient différentes, je pensais déjà m’installer là bas…
Deux mois après mon retour au village, je maitrisai enfin les deux techniques parfaitement et mes capacités se démarquèrent peu à peu des autres ninjas de mon grade. Surveillée de près par le raikage et sa clique, on était méfiant à mon égard depuis la mort de Sawatari, mais encore plus après mon départ de six mois. Ils n’eurent pas tord, je quittai kumo deux ou trois ans après, laissant derrière moi un quart du village en flamme. Ils pouvaient toujours me chercher, il y avait deux Maboroshi maintenant…
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Technique souhaitée: aucun signe nécessaire. Clone parfait, aucun moyen, même avec un dojutsu, de faire la différence entre le corps originel et son double. Tout est identique, le grade, la force, les techniques et la réserve de chakra. Tant que le véritable corps est conscient, le double peut se mouvoir de la façon qu’il veut, c'est-à-dire que si l’utilisateur se fait blesser, cela n’a aucun impacte sur le clone. Bien sur, si l’original vient à mourir ou tomber dans l’inconscience, il disparaitrait aussitôt.
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Minoue Maboroshi
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MessageSujet: Re: test rp solo   test rp solo 283816miniiconoMar 2 Fév - 17:37

je vais bientot combattre l'aka, ça serait cool de looker ce rp les admiin's! merci Cool

hrm... et eventuellement le valider mdr
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