~ Votre personnage ~


Nom : Minami
Prénom : Kaori
Age : 15 ans

Village : Kiri

Nindô (but) : Prouver sa valeur
Affinité (Katon / Fuuton / Raiton / Doton / Suiton) :
Spécialité ( Dukenjutsu / Ninjutsu / Genjutsu / Taijutsu) : Genjutsu / médical

Description mentale :
C’est une jeune fille très sociable et facile à vivre sauf quand on vient lui chercher des merdes là elle devient une tout autre personne, alors si vous n'êtes pas fou ou bête, mieux vaut pour vous de rester tranquille. Kaori peut être douce si elle le souhaite et est très dynamique. Aimant la vie et les gens qui sont sympathique avec elle, ce qui n'est pas le cas si vous ne l'aimait pas. Après tout ne dit on pas œil pour œil dent pour dent ? Elle est sensible à la galanterie étant elle-même une personne très polie et bien éduquée du fait de son éducation bien rigoureux, mais souvent elle peut être très sournoise et capricieuse, prête à échafauder des plans les plus sophistiqué pour vous attraper dans sa toile. Elle est assez têtue et ne crois que ce qu'elle voit et inutile de la faire changer d'avis si elle a déjà le sien. Elle jauge toujours les cas avant de foncer tête baissée mais est très courageuse quand la situation l’exige et elle fait montre d’une froideur et d’un calme olympien. Cette femme enfant possède un caractère trempé dans de l'acier. Elle aidera ceux qui en ont vraiment besoin. Et non ceux qui mentent pour acquérir des objets. Il faut faire ses preuves avec elle, considérez là comme un test à 90 questions. La violence n'est pas son préféré hobby, vous comprendrez donc qu'elle se bat pour ce qu'elle pense être le bon côté de son point de vue bien sur. Son âme n'a qu'un seul chemin et c'est le sien. Kaori n’a pas peur de l‘inconnue et n’hésite pas à prendre les devants. Après tout, la foi en ses actions est la plus importante.

Description physique :
Kaori est une jeune fille très belle, d'une élégance naturelle. Qu'elle soit en robe de soirée ou décontractée peu importe, elle porte toujours élégamment son style... D'ailleurs, il suffit de la voir bouger avec grâce pour comprendre qu’elle est agile et rapide. De longs cheveux soyeux qui encadrent son visage lui donne un air d’ange et viennent ainsi sublimer ce beau corps. Elle aime à prendre soin de sa personne et notamment de sa chevelure. Certains diront qu'elle peut être superficielle, mais il y a superficielle qui se la pète pas, et c'est le cas de Kaori. Elle a un goût sur pour les vêtements, toujours class, jamais vulgaire, sexy juste ce qu’il faut avec un brin de coquetterie qui fait tout son charme. Elle est de taille moyenne et très svelte. Ce petit bout de femme vous enchantera par ses mimiques amusantes en retroussant son petit nez aquilin lorsqu'elle réfléchie. Cette jeune fille a la peau blanche comme neige, avec un visage finement ciselé et ouvragé, comme si un artiste avait poussé à ses limites son œuvre. De grands yeux d'un magnifique noir innocent et candide avec des reflets rouge dans lesquels on plonge sans difficultés tel un noyé qui se laisserai prendre au piège des ondines.

Histoire :
Kaori était une enfant douce et très érudit. Turbulente aussi par moment et d'un naturel joueuse. Elle menait une vie paisible, sans ennuie issu d’une famille pas franchement modeste. Ancienne famille influente, aujourd'hui toute la gloire n'est plus qu'un rêve. Sa famille demeurait à l’écart du village dans une ferme vivant en autarcie avec pas moins d’une cinquantaine de personne sous leur ordre. Avec des terres aux environs ou des paysans travaillés pour ses parents. Il était de mise dans ses contrées de ne pas mélanger les genres. Un arrangement fut prit entre famille noble pour qu'un mariage se fasse dans de bonne condition. On organisa une rencontre de 2 êtres diamétralement opposé. Lui, était peu bavard, déjà responsable avec le poids de l'honneur sur les épaules. Elle le trouva bien coincé et décida de le chatouiller comme elle aimait à le faire. Des bêtises ? Ils en firent à la pelles et toujours sous l'égide de la fillette qui se sortait toujours des situations les plus périlleuses, ce qui n'était pas le cas du pauvre Kotaro qui recevait les foudres paternel ! Kaori alla chaque jour avec impatience vers son destin sans vraiment savoir se que les adultes tramait de leur avenir. L'art de bien tenir une maison fut enseigné à la fillette qui s'ennuyait à mourir. Elle ne trouvait le bonheur qu'auprès du jeune garçon. Il lui parlait d'entrainement, d'épée, tout cela enchantait fortement la fillette qui écoutait avec ferveur et les yeux pétillant tout les récits. A sa dernière visite, la jeune fille reçu un présent, un collier avec une moitié de jade. La fillette pleura consolé par Kotaro. Se fut la dernière fois qu'elle le vit apprenant ainsi qu'elle était sa promise.

Elle passa la majorité de son enfance à lire des écrits sur le maniement de l’épée. Des épopées sur des héros de tout temps. De ninjas s'étant fait reconnaître mort en héros. Toutes ces histoires la passionnée et réveillées en elle un désire très grand de conquête du monde. Mais le pouvait elle ou le pourrait elle un jour ? Il faut dire que c’était une enfant fragile et asmathique. Sa mère la couvé beaucoup trop lui enlevant et interdisant toutes les tâches les plus lourdes. Les autres enfants la regardaient de haut pensant qu’elle n’était qu’une fille fragile. Un être aussi faible n’était pas fait pour la guerre et les armes. Chacun d’eux avaient une gloire dans l’enrôlement guerrier. Elle pour avoir de l’émotion devait simplement lire les exploits des autres. Et qu’avait elle fait de sa vie ? A force de lire et d’écrire ? Rien et cela l’attrista au plus haut point. Son père lui aussi maniait le katana à la perfection, il était difficile pour elle de rester à l’écart. Elle observait dès qu’elle le pouvait les entraînements des autres avec assiduité. Leur manière de manier les armes blanches. Les techniques qu’ils employaient et elle faisait une comparaison par rapport à ses manuelles. La jeune fille s’était même risquée un jour à donner des conseils à ses aînés. Ils lui avaient tout simplement rit au nez en lui demandant de retourner à ses occupations de filles et de laisser les hommes, les vrais à la leur ! Kaori en souffrait énormément. Elle savait qu’elle n’était pas faite pour une vie de femme ordinaire. Son destin était plus glorieux.

Un jour, elle prit la décision de demander à son père un katana. Celui-ci l’avait fixait avec un air d'incompréhension par cette demande, et bien que cela lui fasse plaisir que sa fille s’y intéresse, il ne pouvait que sourire. Une fille voulant se battre ne pourra pas se marier plus tard. Et d’autant plus une belle lady fragile et si douce. Une demande peu raisonnable en vérité et il la prit dans ses bras et l’embrassa tendrement avant de l’adjoindre à retrouver sa maman pour des tâches plus féminines. Kaori fulminait de rage dans son coin. Comment un homme aussi ouvert d’esprit que son père pouvait être aussi étroit lorsqu’il s’agissait d’arme pour une femme. Pourtant il y en avait eu des femmes qui s’étaient distinguées dans cet art qui était la guerre. Trop c’est trop, elle décida de s’entraîner en cachette. Elle leur montrerait à tous ses réelles capacités. La jeune fille alla à tous les entraînements des hommes leur apportant de l’eau, de la nourriture et en profitait pour les observer. Puis le soir venu, elle partait refaire les exercices vus le jour. Elle s’entraîna tant et si bien qu’elle surpassa et de loin les capacités de ses aînés. Seul sa mère savait pour sa fille.

Maintenant elle se sentait fin prête à changer le court de sa vie. Il lui fallait s’enrôler à l’académie pour enfin exister à part entière. Elle leur prouverait à tous ses immenses talents. Elle affronta son père en décidant de son inscription à l'académie. On se moqua d'elle mais il fut pourtant un homme qui remarqua le changement de la jeune fille. Cet homme était son père. Après tout, cet enfant si fragile était assez doué mentalement, qu’en était il au niveau physique ? Il voulait voir plus encore afin de se prononcer. Genji adorait la littérature et les katanas. Il s’était distingué tout au long de sa vie et était blasé. Dieu ne lui avait pas donné d’héritier mâle à qui transmettre ses connaissances. La seule chose qu’il avait pu faire c’était d’avoir transmis le goût de la lecture à sa fille. Il s’était souvent entêté de ne pas l’avoir prise au sérieuse lorsqu’elle avait exprimé le souhait d’apprendre l’art des armes. Et si c’était elle son héritier ? Maintenant, il comprenait mieux ce que sa tendre épouse voulait lui faire comprendre. Il se mit à sourire en bénissant le ciel de lui avoir donner une femme aussi intelligente. Kaoru ne le déçut point en devenant genin en peu de temps. Rabattant ainsi le caquet des certains hommes. Seika père en fut très fière sachant que l'épreuve du vent n'était pas simple, perdue dans le désert durant 7 jours entier à survivre, il fallait un morale d'acier et sa fille, cet enfant douce et si fragile à ses yeux l'avait réussi.

Son père prit directement en main l’éducation de sa fille pour les armes. Lui transmettant ainsi toutes ses connaissances en la matière. Pour la première fois, il découvrit un combattant hors pair. Et ce n’était pas parce que c’était sa fille, sa progéniture, mais elle apprenait avec une déconcertante rapidité. Il en éprouvait une telle fierté ! Il n’avait pas cherché au bon endroit à qui transmettre son savoir. Cette personne se trouvait juste sous nez depuis toutes ses années. Il lui fallait continuer son apprentissage à l’académie afin de gagner encore plus en compétences. Et son père était d’avis à la promouvoir rapidement. Il fallait qu’elle se distingue plus. Bien que le domaine de force physique n'était pas son for, il savait qu'elle réussirait et haut la main à gravir les échelons, après tout il fallait avoir une tête aussi dans le monde shinobi.

La frêle jeune fille faisait place désormais à une kunoishi de talent. Kaori décida de partir en quête de pouvoir. Regardant l’horizon avec appréhension, la réalité se n’était plus ces livres qu’elle lisait à longueur de journée, maintenant la vie réelle débutait pour Elle.